C’est d’abord l’accumulation des déficits qui, depuis le premier exercice budgétaire de la présidence Giscard d’Estaing, est le fait générateur de la progression de la dette publique.
Autant dire que toutes les politiques d’ajustement et de modification des assiettes fiscales, des conditions de leur imposition ont largement contribué à la dégradation des comptes publics, par abandons successifs de recettes.